“Janvier 2010 : la municipalité socialiste installe dans les rues de Grenoble des caméras-dômes 360°. Nous n’acceptons pas de vivre en liberté surveillée ; nous refusons que ces technologies de flicage fassent partie du paysage. Si nous éprouvons une répulsion à vivre sous l’œil des caméras, c’est qu’elles constituent une nouvelle atteinte à notre liberté ; leur présence nous étant aussi insupportable que celle de forces de l’ordre dans nos rues.”
aux éditions du Monde à l’envers