En février 2002, le maire de Mantes-la-Jolie Pierre Bédier n’avait pas voulu du Prix Orwell que lui avait valu l’installation de caméras de surveillance sur la place principale du quartier du Val-Fourré. "Je ne suis pas concerné" avait-il prétendu. Et lors de la remise du prix, il s’était assez piteusement planqué dans son bureau, refusant même de se montrer au conseil municipal (voir le film). A Mantes on en rigole encore. Pour Bédier par contre, c’est un souvenir plutôt cuisant.
Promu (…)
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Mantes-la-Jolie
Articles
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Bédier récidive
1er mars 2003, par francis -
Toujours plus de caméras à Mantes-la-Jolie
29 décembre 2003, par francisAvec le juge Courroye aux trousses, Bédier multiplie les annonces sécuritaires.
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"Vidéosurveillance et politique sécuritaire" : une réunion publique à Mantes-la-Jolie
26 novembre 2004, par francisLa mairie de Mantes va étendre la vidéosurveillance aux artères principales de la ville. Pour quoi faire ? Pour "faire comme tout le monde", du propre aveu de
Bernard Moscodier, mairie adjoint à la sécurité, et sacrifier ainsi à la mode imbécile du sécuritaire à tout crin.
Décil (Démocratie et citoyenneté locales) et la Coordination Ile-de-France anti-vidéosurveillance organisent un débat public sur le thème :
"VIDÉOSURVEILLANCE ET POLITIQUE SÉCURITAIRE"
Avec notamment des (…)