Surveillance « profonde » sur Internet Un article par Antoine Champagne, janvier 2012
Quand une dictature s’effondre, on peine à comprendre comment elle pouvait se maintenir. En Libye, en Egypte ou en Tunisie, la réponse se trouve pour partie dans la surveillance systématique des communications. Lire l’article
On y notera les entreprises françaises qui puent comme Amesys, une filiale de la société française Bull ainsi que Qosmos.