Ces colloques et rapports sur la vidéosurveillance permettent de mettre à jour l’évolution du processus sécuritaire dans l’espace public.
En conclusion, les installations et quadrillages par caméras pour surveiller les populations restent souvent injustifiés en regard des risques invoqués et cela sans jamais aucune preuve de l’efficacité des dispositifs. On nous vendrait donc du vent ? tiens tiens ! Cela n’empêche pourtant pas les tenants du sécuritaire de poursuivre leur œuvre de sape aidé par les médias et les politiques pour dévorer l’espace public sans restriction et s’en mettre plein les poches...
sans autre justification que le profit ?